La Ouiche Lorraine

 Attention ce psot n’est pas un psot sur le cyclimse!

Un pour l’argent, deux pour le spectacle, trois pour le caillou, et quatre pour une recette à la sauce « Classe Américaine ».

Hé oui, je suis une ouf moi, une ouf malade.

Ecoute moi bien mon petit José, tu baises le ménagère, très bien, tu dois donc connaitre la recette de la Ouiche Lorraine.

C’est tout ce que ça te fait quand je te dis qu’on va manger de la ouiche lorraine???!!!???

C’est hyper simple et très rapide, à peine le temps pour Peter de revenir des Vatères:
Déroulez un rouleau de pâte feuilletée, piquez-la et la mettre 10 min au four à 180°C.
Pour ne pas vous tâcher, avant de continuer, enlevez votre sous-pull Yamamoto, ça fait un peu Has Been à mon avis.
Poêlez 300g de lardons fumés.
Puis soyez gentils (euh attention! J’ai bien dit « gentil », j’ai pas dit homosexuel, hein!) et mélangez 30cl de crème fraîche avec 25cl de lait, 3 oeufs de la ferme. Comment ça quelle ferme? La ferme ta-gueule-toi-ducon-espèce-de-crétin-qu’est-ce-que-tu-veux-à-nous-prendre-la-tête-là-pauvre-con!?! Puis ajoutez du sel, du poivre et une lichette de muscade. Vous trouverez cette épice entre l’Australia et la South América, dans l’océan South Pacific, sur l’atoll de Pom Pom Galli, ou encore dans un Monop’ près de chez vous.
Battez avec un fouet de préférence, moi je peux pas, je me suis bousillé les mains avec cette saloperie de collec’ de pin’s à la con.
Etalez les lardons sur la pâte, puis versez le mélange à la crème et parsemez le tout avec du gruyère râpé (150g environ).

Je me permets d’interrompre ce psot parce qu’on se fout un peu de ma gueule. En Lorraine, on ne met pas de gruyère dans sa Ouiche, Alors oui, c‘est du vol et du plagiat mais c’est meilleur avec du fromage…et je préfère passer pour un fasciste de merde plutôt qu’un voleur ou un fils de pute.

25 à 30 min au four à mi hauteur à 250°C, et aimez la tendre, aimez la vraie…et aimez la encore plus le lendemain réchauffée.
En dessert, je vous déconseille la mousse au chocolat du patron.
Allez bonne bourre les …,

ABITBOL George